Exhibitions

 

Art Paris Art Fair 2020, Bard-Borel du 09/09 au 13/09/2020,Grand Palais Paris,
Galerie Olivier Waltman 74, rue Mazarine 75006 Paris.

 

Vivant Absolument, solo show, du 04/10 au 03/11/2019,
Galerie Olivier Waltman 74, rue Mazarine 75006 Paris.

 

AAO, Jérôme Borel, Laurent Galland, du 27/09 au 30/09/2019,
Galland Studio, 4, rue Duverger 13002 Marseille.

 

Temps donné, solo show, du 11/10 au 04/11/2018,
Galerie Olivier Waltman 74, rue Mazarine 75006 Paris.

 

Jérôme Borel,exposition, du 01/03 au 08/04/2018, Galerie Olivier Waltman 74, rue Mazarine 75006 Paris.

 

Jérôme Borel, ArtParis 2017, Galerie Mathias Coullaud, Paris.

 

“Jérôme Borel, peintre français ?”, du 9 septembre au 29 octobre 2016, Galerie Mathias Coullaud, Paris.

 

Des Vrais et Faux, du 12 novembre au 10 décembre 2015, Le Pavillon centre d’art, Pantin.

 

Cocteau contemporain, une proposition de Dominique Païni, du 15 janvier au 28 février 2015, Galerie Mathias Coullaud, Paris.

 

Dr. Albert Delucq, journal d’une collection de province – Galerie Coullaud et Koulinsky, Paris, 1874-2014. 10/04 au 21/062014.

 

CinémaameniC – Whitelabs Galery, Milan, 13/12/2013 au 28/02/2014.

 

Tableaux – Galerie Coullaud et Koulinsky, Paris, 30/05/ au 27/07/2013.

 

Combines – Galerie Coullaud et Koulinsky, Paris, 13/11/12 au 12/01/2013.

 

Scope – 3ème Rue Galerie, Paris, 09/04 au 28/05/2011.

Comme il a commencé à le faire au Pavillon, à Pantin, pour l’exposition ORNEMENT, Jérôme Borel persiste à troubler les attentes du public des galeries.
Avec SCOPE, la mise en scène place l’assistante de galerie dans un fauteuil, devant la vitrine, face au public.
En anglais, SCOPE se réfère à la lunette d’un fusil, c’est-à-dire l’arme à feu, l’arme à tuer… Nous vivons et mourons dans le regard de l’autre.
C’est par le regard et le détournement des conventions en jeu, que SCOPE apparait comme un paradigme.

 

Scope – 3ème Rue Galerie, Marseille, 07/04 au 28/05/2011.

 

Artparis – HeartGalerie Solo Show 31/03/2011

 

Ornement – Le Pavillon, Pantin, janvier/février 2011.

Le sens du tableau.
“Dans le montage de cette exposition et l’arrangement avec cet espace il y a la volonté de retrouver l’existant: un pavillon en meulière et la distribution des pièces sur deux étages. C’est pourquoi j’ai choisi le titre “Ornement”.
La couleur des murs est adaptée aux conditions d’exposition des tableaux. Le choix du mobilier chez Emmaüs aussi. Le bandeau de couleur qui court du rez-de-chaussée au grenier nous rappelle la maison individuelle. Ce sont des ornements, des codes et c’est à l’artiste de les définir afin de redorer sans cesse sa propre prison.”

 

select paintings@studio – Heartgalerie, Paris, avril 2010.

 

Control – Galerie Pascale Guillon, Tavel, France, juillet/août 2009.

Une forme qui pense.
La peinture de Jérôme Borel ne représente pas le réel, mais elle l’absorbe.
Sa peinture est une figure de la réalité .
L’exposition Control fait écho au film de Anton Corbijn “Control” et à l’oeuvre picturale et poétique du cinéma, du cinémoi de Jean-Luc Godard (toiles noires sur mur noir, bande-son -montée à partir d’extraits sonores de Histoire(s) du cinéma de Jean-Luc Godard et d’extraits musicaux du groupe Joy Division), le montage de l’exposition choisi par l’artiste, prend possession du regard et lui substitue un monde qui s’accorde à nos désirs et nos inquiétudes.
Pascale Guillon

 

Fatale Beauté Réponse des Ténèbres – Galerie Plume, Paris 2009.

Première sensation en entrant dans la galerie : voici des toiles qui ont un rapport étroit avec l’époque actuelle. A l’image spectrale d’un bateau vide est associé le mot “contrôle”, en lettres capitales. A celle, aussi indécise d’un rameur, le mot ennemi et au profil d’un cameraman dans la pénombre cette injonction : “tue-moi”. Ces toiles sont en grisaille ou presque saturées de noir, comme celle où ne se distingue que le cadavre de Mickey, troué de trois balles. Des têtes masquées voisinent avec des portraits délibérément floutés ou incomplets. Calculé au millimètre par l’artiste, qui a aussi choisi la couleur des murs, l’accrochage est d’une efficacité impeccable : l’exposition de Jérôme Borel est une machine visuelle qui prend possession du regard et place le spectateur dans un état d’inquiétude et de malaise, sans qu’il y ait pour autant la moindre image violente, le moindre expressionnisme. En 2008, à la Maison rouge, à Paris, il avait déjà réalisé un tel dispositif psychique. Il apparaît ainsi de plus en plus nettement que se développe ici une oeuvre cohérente, réfléchie et extrêmement sensible à notre présent.
Philippe Dagen, Le Monde mars 2009.

 

Roman 2 – Villa Tamaris, centre d’art de La Seyne-sur-Mer, France 2008.

Le titre interpelle. S’agit-il d’une nouvelle réflexion sur les rapports littérature/peinture? D’un simple détour ironique? D’une volonté de s’inscrire dans un courant narratif? Sans doute faut-il y déceler l’écho lointain du Henri Matisse roman d’Aragon, ou tout au moins de la démarche paradoxale, complexe, éclatée et pourtant cohérente qui préside à cette oeuvre difficilement identifiable.
Jérôme Borel évoque l’idée de carrefour, de rapports au temps, aux histoires et à l’Histoire, complétée par la volonté de travailler sur l’espace, sur l’accrochage, autant que sur le mode de production de l’oeuvre. La dimension narrative existe mais comme une donnée induite au croisement de plusieurs pratiques: la couleur, l’espace, le temps, la figure, l’objet, comme chronologie disparate, violence maîtrisée et cathartique. Le romanesque (dans son acception diffuse) s’affirme picturalement sous la double contrainte du sens et de la sensation.
Robert Bonaccorsi, Avril 2008.

 

Le Vestibule, la maison rouge, France 2007.

Deux toiles, c’est peu – et c’est suffisant pour montrer qu’une oeuvre est en train de s’accomplir. Jérôme Borel est un peintre trop discret. Après des années d’expériences, il fait désormais surgir des figures et des spectres d’objets dans des espaces saturés de couleurs vives. En peignant, il se souvient des images de guerre vues à la télévision : pas pour les reproduire, mais pour les pousser à leur paroxysme d’intensité. La force du choc est d’une violence résolue et salutaire.
Philipe Dagen, Le Monde novembre 2007.

 

Persistance – Artconnexion, Lille, France 2007.

 

Théâtre des opérations 2 – centre d’art, Cesson-Sévigné, France 2006.

 

Roman 1 – Avallon 2006.

 

Théâtre des opérations – Galerie Rutebeuf, Clichy, France 2005.

 

En ce jardin – chapelle des Lazaristes, Tours, France 2004.

“J’aime les jardins où l’on s’égare, ceux où on pénètre par effraction.
Jardins abandonnés à eux-mêmes.
Ceux-là commencent toujours par une large allée qui s’élance : ici c’est la nef,
elle est la ligne de force, large, et courte.
Il ne faut pas se promener dans les jardins, on se heurterait aux limites…”
Extrait du texte de Catherine Breillat, catalogue En ce jardin, Tours, 2004.